1. Les équipes doivent être formées d’au minimum :
- Une chercheuse ou un chercheur affilié à un institut de recherche du Québec (université, CCTT ou OBNL ayant un mandat de recherche explicite). La chercheuse ou le chercheur ne peut soumettre qu’une demande en tant que chercheuse principale ou chercheur principal par cycle du programme;
- Un organisme non-académique (l’utilisateur) responsable de l’implantation ou la commercialisation des résultats, incluant : entreprises privées, consortiums industriels, OBNL, organismes gouvernementaux, etc.
2. Tous les organismes non-académiques sont admissibles, peu importe leur taille. Toutefois, elles doivent démontrer leur capacité à utiliser, implanter ou commercialiser les résultats du projet.
3. Le projet peut être lié à divers secteurs tels que l’agriculture, le bioalimentaire, la foresterie, l’environnement, les pêches, l’énergie, les mines, ou tout autre domaine connexe, à l’exception de la santé humaine.
4. Le projet doit intégrer moins un volet des technologies « omiques » (génomique, épigénomique, métabolomique, métagénomique, nutrigénomique, protéomique, transcriptomique, bio-informatique, etc.).
5. Le projet doit répondre à un besoin important du partenaire non académique.
6. Les demandeurs doivent obtenir un cofinancement au projet à hauteur minimum de 1:1, de source(s) autre que le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie du Québec (MEIE). Par exemple : partenaire commercial, fondations, universités, ministères et organismes fédéraux ou provinciaux, grandes sociétés, individus, etc. (lettres de support à l’appui).